De Dalat......... a Hanoi

Tout d abord, je viens vous faire part de quelques reflexions personnelles, apres les trois semaines que j ai eu la chance avec Denis, de vivre au Vietnam. A savoir, il m a paru souhaitable de

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  Laisser du temps au temps pour pouvoir accueillir, ressentir et se sentir vivre ailleurs sans rien brusquer. Notre organisme a aussi son propre rythme, et en quelques heures il doit eponger le decalage horaire, le changement brutal de temperature, la nouvelle cuisine (avec cuisson differentes), les modes de vie...
  
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  D essayer de vivre le moment present. Il n est pas simple de vivre d accueillir tout simplement sans comparer, sans anticiper et se projeter, alors que notre sejour se construit au jour le jour (reservations d hotels ou de chambres chez l habitant appelees ici guest house).
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  Desirer echanger sans parler la langue du pays et seulement que quelques mots d anglais.
  (L observation par contre n en est que plus riche) et ma decision est arretee, des mon retour en Provence, je recherche une etudiante parlant la langue anglaise, avec qui j aimerai apprendre par la pratique, en echangeant en anglais pour faire les courses, la cuisine, le repas... bref la vie pratique cad l approche naturelle de la vie des jeunes enfants.

Mon adaptation se fait donc progressivement. En ce tout prermier jour de fevrier 2010, je me sens un peu chez moi ici au Vietnam. J ai aussi au quotidien quelques echanges (1), je souris avec un signe de la main et dis hello a tout bout de champ dans la rue (aux adultes et enfants). Je suis remerciee au centuple par la reciproque, surtout que les vietnamiens ont des yeux rieurs de naissance.

Je vous embrasse d Hanoi.

Martine

(1) Dans mon prochain billet, je vous en dirais plus sur un echange de vie aupres d une famille Vitnamienne parlant francais.